RP 2.0 : Je ne suis pas un robot ! 

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Article sponsorisé par epresspack

Chez Epresspack, nous sommes convaincus qu’il ne faut pas craindre le progrès, bien au contraire. Mis au service de l’intelligence humaine et subordonné à celle-ci, il crée des synergies qui favorisent l’efficience et la qualité. Les récentes évolutions qu’ont connu les relations presse et relations publics, en partie dématérialisées et automatisées, en sont la preuve ultime. Grâce à de nouveaux outils simples d’utilisation, tels que les newsrooms digitalisées, leur efficacité et leur utilité sont mesurées de façon évidente et argumentée. Mais pour asseoir la nécessité de dépoussiérer les RP, il faut au préalable balayer quelques idées reçues ! 

Idée reçue numéro 1 : la digitalisation des RP signe l’arrêt de mort des cellules grises. 
Certainement pas ! Déjà, car cela ne dispense pas de tout faire, bien au contraire. La transformation digitale est aussi et surtout une transformation éditoriale : au commencement était le verbe, et il l’est encore et toujours. Soigner son assise demeure primordial, ce qui veut dire savoir se définir, se raconter et par extension, construire avec science sa stratégie et son écosystème e-RP relié aux autres organes vitaux que sont le marketing ou encore la communication. L’objectif est d’être à la fois solide, riche et agile. Mais comment procéder ? En observant attentivement ce qui a été fait et reste à faire et à dire, et en mettant en place des moyens et des méthodes adaptés, souvent numériques, pour consolider et soutenir le plan d’action et le fil narrateur qui irrigue l’ensemble de l’édifice, du business-plan aux ressources humaines, en passant par les réseaux sociaux et le référencement, en interne comme en externe. Le progrès permet cela, le développement de logiciels offrant les ressources pour créer des contenus et des formats sur-mesure, pensés pour les audiences, en adéquation avec l’univers d’une marque. 

Idée reçue numéro 2 : qui dit programmation dit dictature du temps court. 
Oui, la digitalisation des RP contribue effectivement, grâce à la sous-traitance des tâches ardues et répétitives par ces newsrooms nouvelle génération, à la fructification des économies placées sur votre compte “épargne temps”. Mais cela pour mieux se focaliser sur l’essentiel : à savoir construire les séquences de communication, les faire vivre. Et ainsi, les inscrire dans la durée. En faisant appel à des systèmes de gestion de contenu (CMS), l’expert RP 2.0 ne se robotise pas : il s’érige en maître du temps et se consacre à adopter une approche multifocale, à coordonner les opérations, à converser de manière constructive avec les journalistes, les influenceurs et l’ensemble des parties prenantes, assignant les modalités d’accès pour les différentes typologies d’informations.  

Idée reçue numéro 3 : l’automatisation accroît le risque d’infobésité. Pourquoi faut-il penser qu’une fois la contrainte de l’activation manuelle du levier disparue, la cadence en termes de production et d’émission d’informations s’emballe nécessairement jusqu’à l’overdose ? Du côté des eRP, il est de bon ton d’éviter de se noyer dans un vivier d’influenceurs et de journalistes, car tous reçoivent une quantité d’informations impossible à traiter en intégralité. Désormais le maître-mot est “mesure”. A tout égard. Aussi bien dans le sens parcimonie, utilité et pertinence, que dans l’aspect “évaluation”. Justement car ces néo-outils délivrent des indicateurs de performance spécifiques aux différents canaux de communication et facilitent l’analyse précise des données (les données parlent à qui sait les écouter), la stratégie de diffusion s’affine en s’intéressant au ROI des moyens mis en oeuvre : réagir et corriger est devenu plus simple. 

Idée reçue numéro 4 : adopter les technologies du futur, c’est tirer un trait sur le passé. 
Parce qu’ils offrent des fonctionnalités d’archivage indispensables, ces nouveaux instruments permettent au contraire de se lancer dans la quête ultime : ce qui fait sens, la singularité, tout en valorisant les racines du projet et l’histoire de la marque. Ce passé, c’est de l’or et l’archivage, une méthodologie subtile rendue enfin accessible, qui enrichit toute base de données et facilite également le travail d’intégration des nouveaux intrants. Le tout, en quelques clics et en répondant aux exigences de confidentialité les plus pointues ! 
En résumé, la digitalisation et l’automatisation ne sont qu’un outil, certes, mais puissant. Il laisse davantage de temps pour l’essentiel, la véritable valeur ajoutée : la stratégie, le contenu et l’humain. Il ne substituera jamais aux idées mais simplifiera, et simplifie déjà, la vie des communicants. Alors, n’ayez plus peur et dites oui à la conjugaison des intelligences humaine et artificielle ! 

Par Loïck Tanguy, Chief Marketing Officer, epresspack  
 
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